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| Cartel de la exposición - Affiche de l'exposition |
La sociedad a la que pertenecemos genera una serie de “suciedades” es decir aspectos negativos para la vida, que abarcan y minan diferentes espacios de nuestra realidad generando en nosotros desconfianza y miedos. Espacios “sucios”, personas “sucias”, ambientes, comunicación, relaciones etc. “sucias”.
"Me pareció interesante el reflexionar sobre ese aspecto de la “Suciedad”, suciedades a menudo invisibles de nuestra sociedad que va ligado al miedo de contagio, y que construye al mismo tiempo una sociedad cada vez más aséptica y preventiva. Sociedad aséptica que ve suciedades invisibles donde muchas veces no las hay y nos aleja del otro, del diferente a quien convertimos en responsable de todos los males"...(Santiago Mollà)
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| “Carta aséptica 1” Instalación mascaras. 2011 - Lettre aseptique 1" Installation masques. 2011 |
Exposición colectiva: Suciedad, Sociedad, Su ciudad - inaugurada el 03/03/2011 en el I.E.S de Valcárcel - Madrid. participan con sus propuestas artísticas Irene Casales, Lourdes Presedo, Mariano Bettosini y Santiago Mollà
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Detalle de la Carta aséptica 2 - Instalación guantes de látex -2011Détail de la Lettre aseptique 2 - Installation gants latex- 2011 |
Saleté, Société, Sa cité
La société à laquelle nous appartenons produit une série de "saletés" c'est-à-dire des nuisances qui couvrent et minent différents espaces de notre réalité et alimentent nos méfiances et nos peurs. Des espaces "sales", des personnes "sales", des atmosphères, des communications, des relations, etc.. sales.
"Il m'a semblé intéressant de réfléchir à cet aspect de la "Saleté". Les saletés souvent invisibles de notre société qui sont liées à la peur de la contagion et qui construisent en même temps une société de plus en plus aseptique et préventive.
Une société aseptique qui voit des saletés invisibles où il n'y en a pas, et qui nous éloigne de l'autre, du différent que nous transformons en responsable de tous les maux..." (Santiago Mollà)
Réfléchir à une société qui chaque jour utilise des milliers de gants de latex et de masques, pour éviter que l'autre se mélange à l'autre, et lui laisse une trace.
Des gants de latex et des masques comme symboles, puisque toucher et respirer à côté de l'autre peuvent avoir de sales conséquences"
Exposition collective: Saleté, Société, Sa cité - inaugurée le 03/03/2011 à l' I.E.S de Valcárcel - Madrid. Participent avec leurs propositions artistiques Irene Casales, Lourdes Presedo, Mariano Bettosini et Santiago Mollà
